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L’histoire d’une jeune makeup artist française qui, après avoir fondée son centre de formation, souhaitait aller plus loin.

1989 – Paris. Les chefs maquilleurs se pressent dans les couloirs du centre de formation pour professionnels désormais célèbre, l’Atelier International de Maquillage Paris ouvert en 1986. Sa réputation en fait un forum naturel où se mêlent chefs maquilleurs tels que Michel Deruel, Laurence Azouvy et Cédric Gérard pour ne citer qu’eux ainsi que leurs équipes afin d’apprendre, d’échanger et de créer les techniques de demain.

Tous sont venus pour assister à une toute nouvelle démonstration de maquillage par sa fondatrice, Hélène Quillé. Cette démonstration vise à répondre à la demande toujours plus exigeante des chaînes télé et des productions cinématographique de l’époque. Et pour répondre au mieux à cette demande, la jeune maquilleuse peut compter sur sa technique, mais aussi ses produits.

C’est au cours de sa carrière, qui commença très tôt en tant que maquilleuse pour le théâtre puis chef maquilleuse pour le cinéma qu’elle eut l’idée de lancer une gamme de maquillage consacrée au milieu professionnel. La démonstration finie, les chefs maquilleurs repartirent sur le terrain, en emportant avec eux ce qui allait devenir la référence dans les backstages parisiens au cours des prochaines années.

Forgée par les retours des maquilleurs, la marque Make-Up Atelier Paris n’a eu de cesse de s’adapter. Au fils des années et toujours dans une quête de qualité, Hélène alla plus loin, jusqu’à ouvrir une unité de production à l’autre bout du monde.

C’est au Brésil vint l’amélioration de la gamme de fond de teint. Le climat chaud et humide du pays poussa la maquilleuse à renforcer ses formules pour obtenir un résultat toujours plus performant en termes de durabilité et de résistance à l’eau. La mixité des peaux présente sur le continent lui a aussi permis d’améliorer les couleurs pour pouvoir répondre à toutes les carnations de façon précise, de la peau la plus claire à la peau plus foncée.